En signant en 1987 le Protocole de Montréal, tous les pays membres des Nations Unies ont permis de protéger notre couche d’ozone et d’éviter un réchauffement climatique de 4 degrés révèle une étude parue récemment.

✒ Bannir des aérosols pour protéger la couche d’ozone.

Le protocole signé en 1987 avait pour but de limiter puis supprimer les gaz “CFC”, c’est derniers étaient utilisés dans les aérosols et dans la réfrigération. Ils étaient responsable du fameux trou de la couche d’ozone qui accélérait grandement le réchauffement climatique et qui nous protège des rayons UV nocifs.

white cloud formation

👉 La couche d’ozone nous protège.

Grâce à la couche d’ozone, nous évitons des cancers de la peau ainsi que des dégâts oculaires et immunitaires. Cette dernière bloque les rayons UV nocifs émis par le soleil.

Ces gaz n’étaient pas que dangereux pour la couche d’ozone, ils étaient également des facteurs aggravants à l’effet de serre, en effet, ils retenaient jusqu’à 10’000 fois plus la chaleur en comparaison au CO2 que nous connaissons tous.

💪😄 Nous avons évité une catastrophe, pour la nature, et pour nous.

Via des recherches et des modélisations, des chercheurs de l’Université de Lancaster ont découverts que la capacité des plantes à stocker le Co2 aurait été sérieusement dégradée en raison de la couche d’ozone détruite par ces produits. En soit, c’est une réaction en chaine qui aurait conduit à des désastres.

Un monde où ces produits chimiques augmentaient et continuaient à retirer la couche d’ozone protectrice aurait été catastrophique pour la santé humaine, mais aussi pour la végétation.

Paul Young – Université de Lancaster

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